Les retraites suisses sont basées sur trois piliers, comme devraient l’être toutes celles des pays de l’OCDE, selon les recommandations de cette dernière. Si le premier est obligatoire et le second financé par les salariés et les sociétés, pour ce qui concerne le troisième, qui est facultatif, c’est à chacun de décider ce qu’il souhaite faire.
Comme il est question d’avoir, au final, des rémunérations mensuelles plus conséquentes, il convient de prendre la chose très au sérieux, quand on parle du 3e pilier. Il doit en effet couvrir à lui seul environ 40% des besoins des personnes retraitées, puisque les deux premiers ne couvrent qu’une soixantaine de pourcents.
Chaque année les plafonds changent
En Suisse chaque année de nouveaux plafonds sont établis, pour ce qui concerne les cotisations de prévoyance que peuvent réaliser les personnes qui le souhaitent, qu’il s’agisse de travailleurs indépendants, de salariés ou encore de cadres dirigeants.
Alors il vaut mieux se renseigner dès aujourd’hui, pour connaître le chiffre concernant le maximum que l’on puisse placer pour le 3e pilier pour 2020. Il faut en effet faire des choix par soi-même, entre des options très diverses. Il s’agit d’offres qui sont mises en place par les institutions bancaires ou encore par les compagnies d’assurances.
Commencer tôt à penser à la retraite
Il faudrait idéalement que chacun commence très jeune à placer de l’argent pour sa retraite, afin de cumuler le plus possible pour ce qui a trait au troisième pilier de la retraite. En effet plus tôt on commence et meilleure sera la retraire que l’on pourra toucher, au bout du compte.
Ce n’est pas rien, alors même si on n’a pas envie du tout de penser à ce futur, quand on est junior sur le marché de l’emploi, il convient de prendre le temps de le faire, afin d’opter pour ce qu’il y a de plus rémunérateur.